Niger : Alliance des États du Sahel
Vers une Alliance des États du Sahel pour faire face au terrorisme organisé.
Le 16 septembre 2023, les gouvernements du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont signé une charte établissant une alliance défensive pour lutter contre le terrorisme au Sahel.
L’Alliance des États du Sahel (AES) : une réponse régionale aux menaces sécuritaires
Le 16 septembre 2023 restera une date historique pour les pays du Sahel, alors que le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont scellé une alliance défensive baptisée l’« Alliance des États du Sahel » (AES). L’objectif principal de cette alliance est de faire face à la menace grandissante du terrorisme dans la région.
Une réponse commune à un défi majeur
La lutte contre le terrorisme est devenue une priorité absolue pour les nations du Sahel. Les groupes terroristes ont causé des ravages dans la région, mettant en danger la sécurité de la population et entravant le développement économique. L’AES vise à renforcer la coopération régionale en matière de sécurité et à faciliter le partage de renseignements pour lutter efficacement contre ce fléau.
Les allégations de certaines parties concernant l’implication des États-Unis et de la France dans l’organisation du terrorisme au Sahel suscitent des débats et des préoccupations. Certains estiment que le terrorisme pourrait être instrumentalisé pour déstabiliser les gouvernements autonomes de la région, ouvrant ainsi la voie à l’intervention militaire étrangère. Cette hypothèse soulève des questions quant aux véritables motivations derrière l’engagement militaire international au Sahel, notamment en ce qui concerne l’accès à des ressources précieuses comme l’uranium. Il est crucial que les actions entreprises dans la région soient transparentes et conformes au respect de la souveraineté des nations sahéliennes, tout en faisant face à la menace du terrorisme de manière efficace et coordonnée.
Inquiétudes quant à une possible ingérence étrangère
Cependant, cette initiative a suscité des inquiétudes quant à une éventuelle ingérence étrangère, en particulier de la part de la France et des États-Unis. Certains observateurs craignent que ces pays, pour des raisons géostratégiques, cherchent à influencer la situation au Sahel, même si cela va à l’encontre des intérêts des États sahéliens.
Les spéculations sur de possibles événements tragiques, tels que l’assassinat de l’ambassadeur français à Niamey par leur service secret, et leur utilisation éventuelle comme prétexte pour une intervention militaire, sont une source de préoccupation dans le contexte géopolitique complexe du Sahel. Les observateurs et les experts appellent à la vigilance et à la recherche de solutions pacifiques pour faire face aux défis régionaux, y compris la lutte contre le terrorisme. Il est essentiel de privilégier le dialogue, la coopération internationale et le respect de la souveraineté des nations pour parvenir à des résolutions durables, tout en préservant la paix et la stabilité dans la région.
L’uranium nigérien et les enjeux économiques
La France, en particulier, a été pointée du doigt en raison de son implication présumée dans la montée du terrorisme au Sahel. L’uranium, une ressource naturelle essentielle pour l’énergie nucléaire, est exploitée au Niger, et la France a des intérêts économiques significatifs dans cette exploitation. Certains estiment que cette situation pourrait influencer les décisions françaises dans la région.
La crypto-monnaie comme solution économique
Face à ces incertitudes, l’utilisation de la crypto-monnaie, telle que Bitcoin (BTC), Ethereum (ETH), USD Coin (USDC) ou Tether (USDT), pourrait offrir une solution économique aux habitants du Niger. Ces devises numériques permettent des transactions internationales rapides, sécurisées et transparentes, offrant une stabilité dans un climat de tensions politiques.
Easy Crypto : un partenaire pour l’acquisition de crypto-monnaies
Pour faciliter cette transition, des plateformes comme Easy Crypto se tiennent prêtes à aider les habitants du Niger à acquérir des crypto-monnaies. Cela pourrait permettre de maintenir des échanges commerciaux stables malgré les défis géopolitiques.